De gauche à droite :
Jeanne Tamarelle est diplômée de Sciences Po Paris en Développement International. Elle a suivi en parallèle un cursus de biologie avec notamment un Master 1 d'Infectiologie, Microbiologie, Virologie, Immunologie à l'université Paris Diderot, et le diplôme du CESAM en Biostatistiques et Epidémiologie. Elle a eu l'occasion de travailler dans une Agence Régionale de Santé en Equateur en planification stratégique, opérationnelle et budgétaire. Son mémoire portera sur la consommation d'antibiotiques chez les enfants à Dakar.

Noémie Courtejoie est élève à l’Ecole Normale Supérieure de Paris (Ulm). Après un M1 en Ecologie, biodiversité, évolution, elle a complèté sa formation par différents stages longs : sur le VIH à l'Université Northwestern (Chicago), dans un sevice d'économie de l'environnement au Ministère de l'Ecologie, et sur l'immunité innée des Chiroptères à l'Institut Pasteur de la Guyane. Le mastère spécialisé de Santé publique devrait lui se placer davatange à l'interface santé, société, environnement.

Marion Dollat est interne en médecine interne, en cours de spécialisation en Maladies Infectieuses et Tropicales. Elle a effectué plusieurs stages en Afrique de l’Ouest et Centrale, dont 1 semestre dans un hôpital de district de l’Extrême Nord du Cameroun. Après un Master 1 de santé publique et environnement, elle a souhaité compléter sa formation en épidémiologie. Son stage portera sur l’évolution de l’incidence du paludisme dans un village sénégalais entre 1994 et 2014.

Elizabeth Keane, irlandaise, est diplômée de Sciences-Po et de la London School of Economics. En 2008, elle entreprit des études de médecine. A cette occasion, elle effectua des stages hospitaliers en Irlande, Grande-Bretagne et au Malawi ainsi qu’un stage à Frontline, ONG spécialisée dans la défense et la protection des Droits de l’Homme.

Nadia Fartaoui est médecin généraliste. Durant son internat en Ile de France (principalement le 93), elle a réalisé un Master de statistiques et recherche biomédicale à Paris XI, avec un stage à l'IRDES à Paris sur les parcours de soins. Elle a participé à plusieurs missions de solidarité internationale, au Mali et au Congo. Elle souhaite s'orienter vers la recherche en soins primaires et en prévention.

Amélie Duréault est en fin d'internat de médecine interne avec spécialisation en Maladies Infectieuses (DESC). Elle a effectué une année universitaire à Grenade dans le cadre d’un échange Erasmus et a effectué des stages au Brésil et au Togo au cours de ses études de médecine. Elle effectuera son stage à l'Institut Pasteur de Madagascar.

Pierre Le Coz est diplômé de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris - SciencesPo. Après un cursus sur les relations Europe-Asie et une année passée à la Baptist University de Hong Kong, il s'est spécialisé dans les affaires publiques relatives à la santé, qui l'ont conduit à travailler pendant un an pour le laboratoire britannique GlaxoSmithKline - GSK.

Solène Grayo est pharmacienne. Depuis 2012, elle a effectué trois DU : en pathologie infectieuse de la femme enceinte, fœtus et nouveau-né à Paris I, en maladie tropicales et parasitaires à Paris VI ainsi qu’en épidémiologie et santé publique au CESAM.

Justine Elise Klingelschmidt est est diplômée de Sciences Po Paris (Master Droits de l'Homme et Action Humanitaire-spécialité santé). Elle a obtenu en parallèle une licence de biologie à l'Université Pierre et Marie Curie (Paris-6). Après une année à Cali (Colombie), et plusieurs stages dans le domaine santé/précarité, elle choisit d'intégrer le mastère spécialisé en santé publique Pasteur/CNAM.

Apres un doctorat obtenu en biophysique à Paris V, dont le sujet porté sur les mecanismes moléculaires de la protéine de nucleocapside NCp7 du virus HIV-1, Stéphanie Ramboarina a orienté ses recherches sur le repliement des protéines à Oxford University et sur la détermination de mécanismes moléculaires associés à des maladies infectieuses induites par des bactéries pathogènes à Imperial College London. Ses recherches ces dernières années sont centrées sur les études structurales de l'antigène VAR2CSA responsable du paludisme placentaire.

Keitly Mensah est interne en santé publique à Lyon. Après des stages dans le domaine de l'infectieux au niveau hospitalier et international (OMS) elle a réalisé un DIU en médecine tropicale et santé internationale à Montpellier. Elle s'intéresse également aux parcours de soins et à l'amélioration des services de santé.

Yasmine Baghdadi a participé à des projets de recherche en épidémiologie au sein du CNRS après avoir effectué un Master de Santé Publique, Epidémiologie et Gestion des Risques à Lyon. Elle a une licence Sciences Vie et Santé, biologie cellulaire et physiologie à l’Université de Toulouse III Paul Sabatier.

Pascale Vonaesch a fait ses études de microbiologie et d’infectiologie à l’Ecole Polytechnique fédérale de Zürich (ETHZ), à l’Ecole Normale Supérieure (ENS) et à l’Université Denis-Diderot à Paris ainsi qu’un doctorat à l’ETHZ dans le domaine des interactions hôte-pathogène sur la bactérie Salmonella Typhimurium, bactérie responsable d’intoxications alimentaires. Elle a réalisé plusieurs stages au Tchad (LRVZ/ Institut Tropical Suisse), à New York (Rockefeller University) et au Niger (CERMES) pendant lesquels elle s’est plus particulièrement intéressée aux maladies tropicales. Elle travaille actuellement comme chercheur postdoctoral à l’Institut Pasteur sur l’entéropathie environnementale pédiatrique, une inflammation chronique d’origine environnementale mis en relation avec la malnutrition. Pascale suivra le Master en cours d’emploi reparti sur deux ans. Elle réalisera son stage au sein de l’Unité des Maladies émergentes à l’Institut Pasteur à Paris.

Après une licence de droit à l'Université de Rennes 1 et un Master 2 "Politiques Publiques de Santé" à Science Po Grenoble, Stéphanie Debruères obtient un Diplôme d'Études supérieures spécialisées en "Santé Environnementale Mondiale" à la Faculté de Médecine de l'Université de Montréal. Elle a complété sa formation par plusieurs stages longs au Centre de Lutte contre le Cancer de Rennes et à la Mutualité Française.

Paul Loubet est interne en médecine, en cours de validation d'un DES de santé publique et d'un DESC de maladies infectieuses et tropicales. Il possède un M1 "Méthodes en santé publique" (Paris XI) et un DU "VIH et IST dans les pays à ressources limitées" (Paris VII). Intéressé par la recherche sur le VIH en Afrique, il a notamment travaillé six mois au Libéria en 2013 sur les résistances aux antirétroviraux.

Salomon Gottlieb Massoda Tonye est biostatisticien intéressé par la modélisation et les outils mathématiques en santé, il est titulaire d'un Master en statistique et économétrie de l'Université de Toulouse 1 - capitole, d'un diplôme d'Ingénieur d'Application de la Statistique à l'Institut Sous-régional de Statistique et d’Économie Appliquée (ISSEA) de Yaoundé et d'une Maitrise en informatique de l'Université de Yaoundé 1. Il a été stagiaire au comité national de lutte contre le SIDA (2006-2008) et a ensuite travaillé au programme national de lutte contre le paludisme (2008-2013) du Cameroun. Après le mastère spécialisé de santé publique de l'école Pasteur - CNAM, il compte poursuivre une thèse en biostatistiques ou en épidémiologie quantitative.

Médecin diplômé de l'Université de Ouagadougou (Burkina Faso), Nongodo Firmin Kaboré a été co-investigateur de nombreuses études cliniques sur la thématique VIH à l'hôpital de jour du Centre Hospitalier Universitaire Souro Sanou de Bobo-Dioulasso entre 2009 et 2014. Il est aussi titulaire d'un DU en système de gestion de bases de données en santé de l'Université Bordeaux II, d'un DU sur l'infection à VIH et autres IST dans les pays à ressources limitées de l'Université Paris VII, ainsi que d'un master 1 en santé publique de l'Université Bordeaux II. Son mémoire portera sur l'incidence des événements cliniques au cours d'un essai randomisé comparant 3 bras de traitements antirétroviraux de 2è ligne en Afrique.

Juliette Di Francesco-Isart est diplômée de l'Ecole Vétérinaire d'Alfort, dominante animaux de compagnie. Elle a choisi de faire sa thèse vétérinaire sur le porc et les zoonoses infectieuses émergentes en Asie et a effectué plusieurs stages en Asie du Sud-Est en clinique et dans des élevages. Elle a notamment participé au projet d'élevage solidaire de l'Association Enfance Partenariat Vietnam, dont le but était d'aider des familles rurales vietnamiennes à améliorer leurs conditions d'élevage.

Caroline Perreau, médecin, a travaillé de 2011 à 2014 dans le service de réanimation polyvalente du CHU de Martinique après avoir fait une partie de son internat aux Antilles et en Guyane. Elle possède plusieurs DU à son actif: réanimation en pathologies infectieuses (DURPI, Paris VII), dermatologie infectieuse et tropicale (Antilles-Guyane) et dernièrement méthodes et pratique en épidémiologie (ISPED).
Stéphanie Jacob est interne en Biologie médicale issue de la filière Pharmacie, spécialisée en Microbiologie. Au début de son internat, elle a réalisé une mission de 6 mois au Cameroun dans le cadre d’une étude sur la drépanocytose et c’est ainsi qu’elle décide de se former en Santé publique. Après avoir effectué un semestre au CHU de Martinique, elle décide d’intégrer le mastère spécialisé de l’école Pasteur/CNAM.

Mayeule Nouvellet est chargée de projet en santé publique. Actuellement elle travaille comme référente médicale pour des projets d’accès aux soins chez Médecins du Monde sur la zone Asie, Europe de l’Est, Moyen Orient et Sahel après 15 ans dans le secteur de la santé et de l’accès aux soins. Son expérience professionnelle s’est construite dans le domaine de la santé, comme infirmière puis comme coordinatrice de projet santé dans le secteur humanitaire international (Sénégal, Burundi, Afghanistan, Pakistan, Iran, Soudan, Népal, Haïti, Palestine…) avec différentes ONG (Action Contre la Faim, Médecins Sans Frontière, Handicap International). Elle a également travaillé dans le secteur médico-social en France où elle occupait des postes d’infirmière coordinatrice ou chargé de projet (Samu social, Petits frères des Pauvres). Diplômée de la Croix-Rouge en tant qu’infirmière, elle a effectué une formation en médecine tropicale à « l’Institut de Médecine Tropicale d’Anvers », puis obtenu par la VAE (Validation des Acquis de l’Expérience) un diplôme CAFERUIS (certificat d’aptitude aux fonctions d’encadrement et de responsabilité dans les unités d’interventions sanitaires). Elle a aussi effectué une formation en épidémiologie appliquée aux épidémies (EPICENTRE) et en gestion de projet (Bioforce).

Après un BSc en Biologie à l'Université de Lausanne (Suisse), Larissa Vernier a obtenu un MSc en Epidémiologie à l'Institut Tropical et de Santé Publique Suisse (Swiss TPH) de Bâle. Dans le cadre de son mémoire de fin d’études, elle a mené une étude épidémiologique sur les maladies liées à l'eau, l'assainissement et l'hygiène dans une région rurale du Burundi.
Sabrina De Souza, biostatisticienne, a effectué ses premières années de formation en mathématiques à l’Université des Antilles et Guyane, puis une première année de master en mathématiques appliquées à l’Université de Paris VII et une seconde année (master recherche) en biostatistiques à l’Université de Montpellier II. Elle a travaillé dans l'industrie du médicament sur des essais cliniques puis sur des études observationnelles avant de rejoindre le Mastère spécialisé. Après le mastère spécialisé en Santé publique, elle voudrait poursuivre une thèse en pharmaco-épidémiologie et biostatistique.
 
Praticien hospitalier, Agathe De Lauzanne Tissandier occupa précédemment les fonctions de chef de clinique assistant. Elle effectua plusieurs missions humanitaires à l’étranger, notamment en Thaïlande et aux Philippines. Spécialisée en pédiatrie, elle obtint la médaille d’argent à son doctorat de médecine en 2006 après cinq ans d’internat en pédiatrie à Montpellier- Nîmes.